Né à Paris, Laurent Collin arrive à son adolescence dans le Sud-Est avec ses parents à la Valette-du-Var. Il y passe ses plus belles années de jeunesse et commence à y faire du théâtre. A 17 ans, il est remarqué par Georges Descrières qui lui demande de rejoindre sa troupe mais Laurent fait le choix de la sagesse et décide de poursuivre ses études pour obtenir son baccalauréat scientifique. Dès son obtention, Laurent Collin annonce à ses parents qu’il souhaite partir en Angleterre faire un stage dans une école de clowns. Devant le refus catégorique de son père, il intègre une Ecole Supérieure de Commerce et terminera son cursus à Paris où parallèlement, pour payer ses études, il travaille dans une agence de communication. Diplômé en 1998, il débute sa carrière professionnelle chez B2LBBDO, première agence web française, mais pour des raisons personnelles il se voit contraint de revenir dans le Sud. A 24 ans, il crée STONEPOWER, la passion du digital ne le quittera plus ! Il s’installe en 2000 à Marseille.
Cette année, en 2015, il crée à nouveau une entreprise avec deux associés, la start up LoomUp. Première entreprise européenne à se positionner sur le marché de la vidéo connectée au service de la relation client digitale, Loomup a obtenu le soutien de la BPI pour son innovation, obtient le label French Tech et trouve ses premiers clients.
S’il fallait choisir un seul qualificatif pour décrire Laurent Collin, ce serait l’engagement : délégué de classe, militantisme politique, président du bureau des élèves, Union des Conseils en Communication, Renaissance numérique, UPE 13… Lorsqu’il est convaincu, Laurent aime s’engager, donner de lui-même, partager des réflexions. C’est ainsi qu’il décide de participer à la vie du monde de l’entreprise en entrant à la CCI Marseille Provence et en devenant ambassadeur de ce Territoire. En janvier 2011, il est désigné membre associé de la CCIMP. Il apprend alors les rouages de cette institution et décide de travailler aux côtés de Eric Ammar pour la Mission Développement des Tpe-Pme. En équipe, il monte des projets tels que le dispositif d’intégration Pme, Puissance 2, la boîte à outils des Pme, Compéti’TIC, …. Aujourd’hui, il est bien sûr partie prenante sur le dossier de digitalisation de la CCIMP dont le dimensionnement est national puisque toutes les CCI métropolitaines sont concernées.
Il se rend compte à quel point la CCIMP dispose d’une puissance de frappe importante et regrette d’ailleurs que les chefs d’entreprise n’aient pas suffisamment le réflexe de faire appel à elle. Il ressent cela comme une faiblesse et, intimement convaincu des vertus du parlement des entreprises, il considère qu’il est de son devoir de participer à faire changer cette posture des entrepreneurs.
Pour Laurent, aujourd’hui plus encore que par le passé, chaque membre de la CCIMP doit œuvrer pour que les Chambres de Commerce de France continuent à vivre pour représenter le monde de l’entreprise.
Dernier vœu qui tient à cœur à Laurent : que l’on arrête avec le « Marseille bashing » si néfaste pour les entreprises ! Convaincu des formidables atouts du territoire Marseille Provence capable de rivaliser avec les plus grands !
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IL AIME | |||||
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